Ethan Weill

ETHAN WEILL

. N o m : Weill . P r é n o m : Ethan . S u r n o m : / . A g e : 22 ans . O r i g i n e : Française . G r o u p e : Bourgeois . M é t i e r : Barman . O r i e n t a t i o n . s e x u e l l e : Hétéro

Portrait


D e s c r i p t i o n . p s y c h o l o g i q u e :

S'il y a bien une chose qui caractérise Ethan une fois qu'il est derrière un bar, ou avec une bouteille entre les mains, c'est le sérieux. Cet homme est un réel bourreau de travail, ne reculant devant aucune tâche compliquée quand il s'agit de sa passion. Mais en bon barman, il saura aussi se montrer jovial, voir même déconneur s'il le faut ; et tendra toujours une oreille attentive aux problèmes de ses habitués.
En dehors du boulot, on retrouve un homme approximativement identique : sérieux quand il le faut, il est surtout drôle, attachant, et très décontracté. Fidèle en amitié, on peut toujours compter sur lui. En définitive, il n'a qu'une seule réelle faiblesse qui le met parfois en danger : les femmes.
Mettez une jolie fille sous son nez, et il aura du mal à garder son self-control...et à empêcher l'hémorragie nasale ! C'est un grand séducteur, ou du moins, il essaie d'en être un, car c'est aussi un très bon collectionneur de râteaux !
Que dire pour terminer, à part que malgré un jeu de jambe irréprochable, et une technique hors du commun, il déteste se battre, et n'intervient qu'en dernière limite, se revendiquant avant tout barman.
Finalement, à mieux y regarder...c'est juste un homme comme les autres !

A i m e / N'a i m e . p a s :

Ce qu'il aime ? Le travail bien fait, ses amis, et les femmes...TOUTES les femmes...
Ce qu'il n'aime pas ? Les gens qui foutent la merde, et se battre...et les petits poids aussi !


D e s c r i p t i o n . p h y s i q u e :
Grand, blond, un sourire charmeur et parfois moqueur, des muscles fins et une peau lisse...sur le papier, ça sonne bien non ?
En réalité, Ethan ne prend pas soin de son apparence. Le matin, il passe un temps réduit devant le miroir ; puis il enfile la première chose qui passe. En général, une chemise, un pantalon, et ça suffira bien pour la journée ! Au naturel, il ne fait pas attention à son capital séduction. Ce n'est qu'en présence d'une belle femme à courtiser que d'un coup, ses yeux brillent, ses dents scintillent : il se transforme en Don Juan de ces dames !
Les produits, tout ces machins qu'on se tartine, c'est pas fait pour lui ; et niveau coiffure et esthéticienne, il se contente d'une coupe tous les mois, toujours la même, et ne veut même pas entendre parler d'ongles, ou de bouton. De toute façon, il n'en a pas. Son teint de pêche, il se le fait à force de travail est de sueur. C'est aussi comme ça qu'il s'est musclé, et qu'il a acquis une certaine dextérité : il en faut pour être un bon barman !

S i g n e s . p a r t i c u l i e r s : Tous ses proches lui disent que ses sourcils, remontant au niveau des pointes, on un air de point d'interrogation ; ce qui lui a d'ailleurs valu un surnom tenace...

Votre histoire


H i s t o i r e :
Quoi ? Mais...j'ai pas le temps ! Vous voyez bien que je bosse ! Hein ? Ohlala...bon, ça va ! Si vous insistez. Mais je vous préviens, c'est la seule et unique fois ! Bon alors...mon parcours...par où commencer...
Bon, comme tout le monde, je suis né un jour ! Vous vous en doutez. C'était par un bel après-midi de Juin, les oiseaux chantaient...non, je plaisante, je vous rassure ! En fait, on ne peut pas vraiment traiter mes parents de modèle de vertu si vous voyez ce que je veux dire. Depuis tout jeune, j'avais toujours la permission de sortir de la maison quand je voulais, et avec qui je le voulais...ce qui me valu de me faire quelques ennuis, notamment avec la police. Mais ne vous inquiétez pas, c'est parfaitement terminé à présent.

Dès ma première fugue, j'avais pris une habitude : je me rendais dans le bar du quartier voisin...un bar pour ces gosses de riches qui aiment les soirée un peu étranges si vous voyez ce que je veux dire. Le videur me connaissait bien, c'était un ami de la famille en quelques sortes. Il me laissait toujours entrer sans faire de souci, sous le regard médusé de la file d'attente. De là, je partais toujours directement au bar...pour admirer Sergio ; un vrai virtuose de la bouteille, ne se trompant jamais dans ses dosages, et le tout à la main. Avec lui, les bouteilles devenaient volantes. Et à force de me voir assis à son bar, de me voir le supplier...et bien il a accepté de m'enseigner les ficelles. Selon lui, j'avais de l'or dans les mains ! Et comme souvent je restais pour la fermeture...et bien cette fois, c'est le videur qui venait m'apprendre des choses : un bon jeu de jambes, c'est la base d'une bonne défense ! Lui, c'est dans les jambes qu'il disait que j'avais de l'or par contre ! Et puis c'est dans ce bar que j'ai appris à apprécier l'une des choses les plus importantes de ma vie : les femmes. J'avais un grand problème avec les belles femmes...j'avais du mal à leur refuser quoi que ce soit. Et ça ne me causa d'ailleurs pas que des soucis...

Les années ont passé, et l'enfant est devenu grand. J'allais au bar de plus en plus souvent, et j'avais le droit d'empocher mes pourboire quand on me faisait passer derrière le comptoir pour une séance de "magie"

C'est à 20 ans que les choses se sont corsées. Ma mère, depuis quelques années, était devenu une droguée notoire, suivant la mauvaise spirale de mon père. Seulement, c'était elle qui prenait quand lui ne pouvait pas payer. Et comme elle avait autant d'agent que lui, et bien elle prenait pour elle aussi. Presque tous les soirs, elle revenait avec de nouvelles contusions, des bleus ; et je ne pouvais plus le supporter. Alors j'ai décidé de la suivre un soir, alors qu'elle me disait comme toujours qu'elle allait au bureau de tabac. Tu parles ouais...le bureau des toxicos plutôt ! Et dès son arrivée, je vois un homme lui retourner une gifle : C'en était trop pour moi. Il FALLAIT que j'agisse ! Pour elle ! Pour nous ! Alors j'ai décidé de mettre en pratique les cours de mon ami videur, et de me présenter à eux de manière franche : je les ai menacé. Le problème, quand on veux des ennuis avec le patron d'une belle bande organisée, c'est que la bande n'est jamais très loin malheureusement. Je tirais donc ma mère par la main pour qu'elle me suive, et je me suis mis à courir à toutes jambes, comme si ma vie en dépendait. Remarque...elle en dépendait vu les hurlements !

Nous sommes direct rentrés à la maison, ma mère restant légèrement amorphe. Je suis allé parler à mon père, pour lui dire qu'il fallait partir, loin, et protéger ma mère. Mais il souleva un argument de taille : l'argent. Nous n'en avions pas assez pour une pilule, alors pour un voyage, vous pensez bien !
Mais d'un coup, me revint en mémoire quelque chose...une immense affiche que j'avais vu au bar il y a quelques temps déjà, qui parlait d'une cité où tous les rêves se réalisaient. Et au point où j'en étais...j'étais prêt à y croire !
Mes économies étaient maigres, mais je les réunis toutes. Allant dire au revoir à mon vieil ami le barman ; je découvris quelque chose qui, pour la première fois de ma vie, arriva à me faire monter les larmes : celui-ci avait vendu son bar. Il était vieux, et fatigué, et méritait un peu de repos ; et il avait décidé que cet argent, il serait pour moi...pour m'aider à réaliser mes rêves, comme je lui en avait parlé.
Une accolade entre deux hommes, un au revoir, une clope qu'on écrase et un cigare qui s'allume...j'étais parti, tournant le dos à mon vieil ami dans un signe de main. Mon but était à présent clair : Dès que j'en aurais suffisamment, j'enverrais de l'argent à mon père, afin qu'ils puissent tous deux s'offrir une nouvelle vie eux aussi, loin de tout ce bordel...

L'inscription se fit en une seule fois : j'avais juste assez pour devenir propriétaire d'un bar, et d'un logement. Mais durant plusieurs mois, j'allais devoir vivre de riz et de pâtes !
Au moment d'entrer dans la cité, après avoir été déposé par la navette, je sentais mon cœur qui s'emballait dans ma poitrine. Sur le coup, je pensais que c'était l'excitation du moment...mais non...ce parfum...une femme au charme envoutant, devant moi. Elle avait l'air dans l'embarras, et me demanda si je pouvais l'aider à entrer...mais...ça reste entre nous ça hein ! J'ai pas envie de voir la milice débarquer ici demain !

Bon alors ! Vous êtes contents maintenant ? Vous allez enfin commander ? J'ai pas que vous à servir vous savez !


Derrière l'écran


♦ P s e u d o n y m e : Klyts
♦ A g e : bientôt 22 ans
♦ C o m m e n t . a v e z - v o u s . d é c o u v e r t . l e . f o r u m ? Je l'ai co-fondationné !
♦ V o t r e . e x p é r i e n c e . e n . R P G ? Un certain nombre d'années...un peu moins d'une dizaine
♦ R e m a r q u e s ? \o/
♦ C o d e : ça me va !